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Sebastian Jacobsen • Il y a une part de lumière et d'ombre en chacun de nous. Ce qui compte c'est celle que l'on montre

Posté : sam. avr. 10, 2021 10:28 pm
par Sebastian Jacobsen

Sebastian JACOBSEN

" Dans le monde il n'y a pas d'un côté le bien et le mal, il y a une part de lumière et d'ombre en chacun de nous. Ce qui compte c'est celle que l'on choisit de montrer dans nos actes, ça c'est ce que l'on est vraiment "

Généralités

Date de naissance : C'est le 28/06/1999 que Sebastian vit le jour. Ou plutôt la nuit. Il l'ignore, mais ironie du destin, c'était un soir de pleine lune.
Âge : 16 ans que la Terre le porte.
Lieu de résidence : Il réside à Hellesylt, petite village de moins de 1000 habitants qui l'a vu naître il y a de cela 16 ans. Village qui fut pendant des années, pour lui, marqueur de souvenirs familiaux, de jeux avec son frère, de rêves d'avenir. Mais vivre dans un petit village n'épargne pas de la malchance. C'est non loin de la fameuse cascade qu'il tomba sur un loup-garou. Une seconde suffit à briser les rêves, à donner à ce village un goût amer lorsqu'il y songe. Et peut-être qu'au cours de sa vie, d'autres villes lui rappelleront de douloureux souvenirs. Car, où qu'il aille, il ne peut échapper à l'emprise de la lune.

Ancêtres et génétique

Valeur du sang : Il est né-moldu. Tragédie pour certains, honte pour d'autres, il passe au-dessus de ces jugements. Ce n'est pas à sa richesse, sa noblesse ou son sang qu'on reconnait la grandeur d'un homme, mais à ses actes, selon lui.
Don : Né un soir de pleine lune et lié à elle à jamais. Il n'est pas susceptible, mais ne lui parlez pas de don pour autant. Encore faudrait-il que vous en ayez connaissance. C'est une malédiction qui l'a frappé un soir de novembre 2012, alors qu'il était âgé de 13 ans, qu'il fut mordu par un lycanthrope. Au mauvais endroit, au mauvais moment. Comme ceux qui croisent la route d'un chauffard, par exemple. Sauf que lui a survécu. Aucun doute qu'il aurait préféré y rester. Non pas à cause de sa nature nouvelle, mais par ce qu'elle allait causé quelque temps plus tard. Lui qui semble toujours bienveillant, jovial, insouciant, là est sa part d'ombre. Des ténèbres que peu de personnes soupçonnent. Derrière ce sourire enjoué se cachent des crocs assassins les soirs de pleine lune. Au moins une personne le sait.
Hybridation : Être sorcier, et surtout lycanthrope, c'est déjà suffisamment lourd à porter pour les épaules d'un adolescent.

Physique


Avatar : Maxence Danet-Fauvel
Particularité physique : Aucun dessin n'a été fait sur sa peau et aucun bijou, que ce soit piercing ou boucle d'oreille, n'y a élu domicile. Il n'a rien contre les tatouages ou les piercing, il n'accorde guère d'importance à l'apparence des autres - dont on ne peut souvent pas dire autant - et respecte les choix vestimentaires les plus originaux, mais il n'éprouve pas le besoin d'en avoir. Il n'y voit pas l'intérêt. Peut-on dire qu'il a des particularités physiques ? Peut-être ses cheveux, souvent en bataille, qui ne semblent pas coiffés. Et qui ne le sont pas quelques fois, régulièrement même c'est vrai. Il porte également parfois des vêtements quelque peu écorchés par endroit, signe de ces escapades dans la nature. Sa mère, dans sa jeunesse, ne cessait de lui dire « Sebastian, va te coiffer et change ce t-shirt, les gens vont penser que tu es négligé ! ». Mais il n'en faisait rien. Cela lui passait bien au-dessus, le regard porté par les autres. Il préférait les jeux avec son frère qui, bien souvent, rentrait avec des vêtements dans un état aussi piteux que les siens. C'est vrai, certains diront qu'il paraît - même qu'il est, les autres ont cette tendance à savoir mieux que soi-même - négligé. Pourtant, il n'en est rien. Il est même pointilleux sur l'hygiène, et se lave probablement les mains plus régulièrement que bon nombre d'élèves dans cette école. Mais en ce qui concerne sa coupe et ses vêtements, tant qu'ils sont propres, leur aspect lui est bien égal.
Bien évidemment, les jours de pleine lune, on peut sans conteste dire qu'il a des particularités physiques... Ses os se déforment pour devenir cette créature tant redoutée que méprisée et ses dents deviennent des crocs acérés. Une chose ne change pas néanmoins, ses poils apparaissent tout aussi hirsutes que ses cheveux.
Style vestimentaire : Comme je vous l'ai dit, Sebastian ne se prend pas la tête. Ce qui est certain, c'est qu'il ne porte pas de costard-cravate. Il prend le pantalon en haut de la pile, le pull en haut de la pile, tant pis si les couleurs ne s'accordent pas ! À son image, il a un style décontracté, léger. Les vêtements de marque ne l'intéressent pas.

Magie & Etudes

Année : Il vient d'effectuer sa rentrée dans cette nouvelle école. Dans ce nouveau monde. Il est en 1ère année et compte bien profiter de chacune d'elle pour poursuivre ses apprentissages et se construire un avenir.
Baguette : Bien que de par son sang, il était peut-être moins prédisposé à la magie que certains de ses camarades, il n'a pas mis longtemps à trouver la baguette avec laquelle il ressentit cette résonance dans son âme, cette vibration qui a émané. Il fut très surpris, jamais il n'avait eu pareille sensation, alors même qu'il s'agit d'un objet, et donc d'une chose dénuée de vie. C'est une baguette en sorbier qui l'a choisi. Bois généralement associé à un esprit clair et à un cœur pur. Sans doute l'a-t-elle immédiatement senti qu'ils s'accordaient parfaitement. Propice aux sortilèges de protection, ce n'est peut-être pas un hasard si elle a été couplée à une plume de phœnix en son cœur, créature magique aux grands pouvoirs de guérison. Longue de 29 centimètres, elle s'avère très flexible. À elle seule, elle en dit long sur Sebastian et sa façon de considérer les autres.
Animal de compagnie : Une jeune dame blanche, plus communément appelée chouette effraie, répondant au doux nom de Harmony. Un nom qui n'a pas été choisi au hasard. Qui s'accorde avec l'état d'esprit du jeune homme.
Cours obligatoires : Vol sur balais, Botanique, Potions, Sortilèges enchantements et maléfices, Métamorphose et transmutation, Etudes des forces obscure, Études des créatures magiques
Cours optionnel : Histoire de la magie. De par le milieu duquel il vient et dans lequel il s'est forgé, le monde des moldus n'est pas un secret pour lui, contrairement à celui de la magie.

Personnalité

Choisir deux lignes de caractères principaux parmi la liste suivante afin de permettre la répartition dans les castes : (supprimer les autres)
4 ) Tolérant / ouvert d'esprit
7 ) Joueur / farceur

Autres traits de caractères (détailler les deux choix et écriture libre) (minimum 5 lignes) :
On ne peut résumer Sebastian à deux traits de caractère, qui, qui plus est, sont plutôt des qualités. Or, comme tout un chacun, le jeune sorcier a des défauts, dont certains sont aussi prégnants que ses qualités. Commençons d'abord par ces dernières même s'y vont s'en mêler des défauts, bien que ce choix puisse lui porter préjudice, les humains ne se rappelant généralement que de ce qu'ils ont lu en dernier, mais cela lui est égal.

Là est peut-être son premier trait de caractère. Le fait qu'il semble passer au-dessus de toute remarque, de toute critique, ou presque. Il ne se prend pas la tête pour des broutilles. Le jugement des autres lui est égal. C'est peut-être à mettre en lien avec sa tolérance et son ouverture d'esprit, justement. Ou avec une forme d'insouciance. Il accepte qu'on puisse ne pas apprécier sa tenue dépareillée, qu'on se moque parce qu'il a donné une mauvaise réponse, qu'on le qualifie parfois d'étrange. Au contraire, il pourrait même s'en amuser, parce que cette insouciance va de pair avec le fait qu'il soit du genre joueur. Il peut sortir une phrase qui semble être de l'ordre de la moquerie, alors qu'il cherche simplement à rigoler de la situation. Il n'est pas naïf pour autant et si besoin, il saura remettre quelqu'un à sa place, toujours - ou presque - dans la bonne humeur et sur le ton de l'humour. Ce qui peut en agacer certains.
Cette insouciance, ce côté aventureux à la limite de l'imprudence parfois, lui ont permis de vivre une enfance riche en émotions, de s'imaginer des aventures dans des pays lointains, que seuls les enfants peuvent atteindre. Mais ils lui ont aussi coûté cher. Pourtant, il n'en a pas tiré leçon puisque aujourd'hui encore, ne soyez pas surpris de le voir partir en pleine nuit, à la recherche d'animaux fantastiques à observer, de plantes à découvrir, ou tout simplement à la recherche de bouffées d'air frais. Même si cela peut coûter des points à sa maison. Car il n'est pas compétitif. Cela lui est bien égal que son équipe remporte la coupe de Quidditch ou que sa maison ait le plus de points à la fin de l'année. Il ne comprend pas l'intérêt d'instaurer des compétitions dans le cadre scolaire qui, selon lui, ne vont faire que renforcer les rivalités et avec elles, les préjugés et l'intolérance.
Ces différentes qualités - ou traits de caractère, l'insouciance et l'imprudence étant plutôt qualifiées de défauts - sont toutefois à nuancer. Il est vrai qu'il a peur de devenir un paria si on en venait à découvrir son autre nature. Celle qui la ramène à l'acte atroce qu'il a commis. Celle qui fait de lui un monstre. Bien que la plupart du temps le jugement des autres lui importe peu, dans le fond, il craint la solitude. C'est pourquoi il s'avère être quelqu'un de très sociable. Il l'a toujours été, depuis l'âge où il a pu faire ses premiers sourires, jusqu'à aujourd'hui. Mais cet aspect de lui s'est amplifié après sa transformation, tout du moins quelque temps après, car la solitude, au bout d'un temps, efface peu à peu son sourire pour lui rappeler ce qu'il a fait. Et pourtant, c'est paradoxal qu'il cherche à s'entourer. Car il demeure dans cet entre-deux ; celui de la crainte de finir seul qui le pousse à chercher la compagnie, et cette effroyable angoisse de pouvoir blesser, ou pire, tuer un proche. Ce qu'il a déjà fait une fois et jamais plus, il ne veut revivre cela. Il préférerait en mourir. Mais le fait d'être entouré n'est qu'un pansement en surface sur des blessures bien plus profondes.

Malgré son côté insouciant et aventureux, il peut faire preuve d'un grand sérieux lorsque les situations l'exigent et s'avère doté d'une grande qualité d'écoute. Il sait choisir ses mots avec intelligence. S'il se montre bienveillant, il n'hésitera pas à user de mots forts s'il l'estime nécessaire, quitte à vous blesser.

Avec ses proches, voire même avec des inconnus, il peut se montrer très tactile. Il ne s'offusque pas néanmoins si vous reculez à son contact, il a bien conscience que poser la main sur une épaule, c'est déjà mettre un pas dans la sphère intime d'une personne et que tout le monde n'apprécie pas cette intrusion.

Passons à présent à ses quelques défauts.
Le premier que je vais citer n'est pas à prendre comme un trait de sa personnalité en lui-même. Il est apparu suite à sa transformation et se manifeste de façon aléatoire. À l'approche de la pleine lune, il peut se montrer lunatique et de mauvaise humeur, lui pourtant si joyeux. Il le regrette bien souvent après, mais il lui arrive alors d'être désagréable si on le pousse à bout. Si vous voulez le provoquer, c'est peut-être le meilleur moyen de s'y prendre.

En écho à ses cheveux désordonnés, il est plutôt du genre désorganisé. Il est celui que vous pourrez apercevoir en train de mettre le dortoir sens dessus dessous à 22h30, à la recherche d'un devoir à rendre pour le lendemain à 8h, mais dans un calme olympien. Lié à ce défaut, il est un peu tête en l'air. Ne soyez pas surpris de le voir oublier son livre à la fin d'un cours, ou mettre le mauvais ingrédient dans la potion parce qu'il est en train de chantonner une chanson qu'il apprécie.

C'est également quelqu'un qui s'avère têtu. Précisons toutefois ce défaut. Il n'est pas têtu dans ses idées, bien au contraire, il sait écouter un point de vue contraire au sien si celui-ci est justifié. Mais en termes d'actes, il est plus compliqué de le freiner. S'il souhaite faire quelque chose, il sera difficile de l'en dissuader.

Enfin, il manque parfois de ponctualité. Si vous lui donnez rendez-vous, il vaut mieux lui dire de venir un quart d'heure avant l'heure souhaitée si vous voulez qu'il soit à l'heure. S'il n'oublie pas le rendez-vous bien sûr. C'est qu'il est parfois un peu lent à se préparer, aussi surprenant soit-il compte tenu de son caractère enjoué.

En résumé, si on se penche sur son vécu, on peut aisément affirmer que Sebastian représente à lui seul une leçon de vie, conservant son sourire et son insouciance, curieux de ce monde qui l'entoure, alors même qu'il a peur de lui-même ou plutôt de ce qu'il pourrait faire. S'abstenant au mieux du jugement, alors qu'il sait que si son secret était découvert, il serait une cible de choix et pourrait être exclus de toutes sociétés. D'autres haïraient les humains, moldus ou sorciers, pour cela. Mais lui, la seule haine qui l'habite, est celle envers lui-même. Ce qui fait finalement de lui, un être pur. Être pur dans lequel vit un démon qui attend patiemment le moment venu pour sortir et se déchaîner.


Quelques anecdotes :

Sebastian est pansexuel, avec une préférence marquée pour les hommes. Il s'intéresse davantage à la personne qu'à son genre. Reflet de sa personnalité profonde S'il devait se retrouver face à un épouvantard, celui-ci prendrait son apparence sous forme lupine, avec sous ses pattes, les corps ensanglantés des êtres qui lui sont chers. S'il était face au miroir du Riséd, il se verrait sous forme humaine, un soir de pleine lune, son frère à ses côtés, sans séquelle aucune. Il fait régulièrement des cauchemars, dans lesquels il se remémore l'attaque l'ayant conduit à devenir un loup-garou, l'attaque de son frère, où encore dans lesquels il se voit en train d'assassiner ses parents ou de parfaits inconnus. Il adore cuisiner des pâtisseries et sa créativité le pousse à essayer de nouvelles recettes, aux mélanges des plus étranges et dont le résultat est généralement... atypique Il a toujours hâte d'aller en cours de potion, sans doute parce que cela lui rappelle la pâtisserie. Mais son cours préféré reste celui de l'étude des créatures magiques. Enfant, il souhaitait être vétérinaire ou éthologue, ainsi ce cours le rattache à ses rêves d'enfant Il aime tellement les animaux que lorsqu'il avait 10 ans, son frère et lui ont ouvert l'enclos du pré du voisin dans lequel se trouvaient des vaches. Plusieurs d'entre elles se sont échappées. D'importants moyens de police avaient dû être mis en place pour éviter les accidents. Malheureusement, l'un des bovidés a croisé la route d'un camion et a terminé en steack plus tôt que prévu. Sebastian s'en est beaucoup voulu. Il est allergique à la moutarde. Ce n'est pas plus mal, au moins ce n'est pas un ingrédient qu'il sera tenté de mettre dans une pâtisserie S'il entend quelqu'un jouer du piano, il cherchera à tout prix à s'éloigner du son mélodieux. S'il n'en a pas la possibilité, il peut faire une crise d'angoisse.

Histoire

Biographie du personnage (minimum 15 lignes) (enfance, études avant l’arrivé à Jafnhar, dons, hybridations, …) :

C'est un soir de juin bercé par la pleine lune que Sebastian a vu le jour et a posé son empreinte en ce monde. Baigné par la lumière de l'astre de nuit, porté par des bras tant chaleureux que protecteurs, c'est ainsi qu'il s'endormit pour la première fois, paisiblement. Cruelle ironie. C'est avec une infinie douceur que sa mère caressa son visage, cherchant à s'en imprégner, comme si le temps était compté et que le jour venu, quelqu'un viendrait lui arracher. À ses côtés se tenait un homme dont le regard était empreint de fierté. Ce regard qu'il put enfin poser sur ce bébé si attendu et qui, maintenant qu'il était présent, l'amenait à cette réalité nouvelle : il était père. Ce tableau presque poétique s'annonçait déjà révélateur de l'enfance heureuse que ce nouveau-né allait connaître.

Solveig, celle qui l'avait porté durant 9 mois, était institutrice. Elle avait su très tôt qu'elle souhaitait exercer un métier auprès des enfants et surtout, qu'elle souhaiterait fonder une famille. C'est avec Gunder, rencontré sur les bancs du lycée, qu'elle put concrétiser ce projet. À l'époque où ils s'étaient rencontrés, chacun était en couple. Ce n'est qu'à l'université, alors que leur idylle respective s'était achevée, qu'ils se rapprochèrent et qu'ils furent habités de sentiments nouveaux. Ils se séparèrent à deux reprises, mais revinrent irrémédiablement l'un vers l'autre, tels deux aimants. Ils étaient ce qu'on peut qualifier, si vous y croyez, d'âmes sœurs. Ils décidèrent de s'installer à Hellesylt, petit village calme dans lequel Gunder avait grandi. À peine sorti de l'adolescence quand il l'avait quitté, c'était en tant que comptable qu'il y revenait.
Peu de temps après leur installation, Solveig attendit un heureux événement. Vous l'aurez compris, Sebastian est né dans une famille moldue, mais dès que sa mère a pu apercevoir son visage et son père le prendre dans ses bras, il amena à lui seul cette magie qu'est la naissance d'un enfant. Cette magie passait par les sourires généreux qu'il offrait à tout individu qui posait son regard sur lui, par sa recherche de contact, par sa seule présence. Déjà poupon, il riait beaucoup et s'amusait à explorer chaque pièce qui lui était accessible dans cette grande maison qu'était la sienne, nécessitant la surveillance constante de ses parents. À peine fut-il en âge de tenir sur ses jambes qu'il galopait dans l'herbe, poussé par une curiosité qui l'amenait à tenter de franchir les clôtures de son jardin pour découvrir le monde et ses secrets. C'était un enfant chéri, qui avait tout ce dont il avait besoin sans que ses parents ne tombent dans l'excès, et qui n'avaient finalement pas à hausser le ton souvent pour se faire obéir – sauf lorsqu'il était question de partir à l'aventure –. Il s'agissait finalement du genre de vie simple, dont devrait pouvoir jouir chaque enfant de ce monde. Loin des atrocités, des crimes et des guerres dont seuls les humains sont capables.

En septembre 2002, alors qu'il était âgé de 3 ans, arriva celui qui partagerait ses rêves, celui avec lequel il partirait dans des aventures imaginaires, celui pour lequel il surmonterait des montagnes et se dresserait devant n'importe quel ennemi : Jonas, son frère. Comme si c'était inscrit dans leur génétique, il s'avéra être un bébé tout aussi jovial que son frère, mais peut-être un peu plus têtu et surtout plus difficile en termes d'alimentation. Pressé de rejoindre son aîné dans ses aventures, il développa la marche à un âge précoce. Au fil du temps, les deux enfants développèrent une complicité solide, qu'aucune dispute ne parvint à rompre. Chacun se confiait à l'autre sur ses craintes et angoisses, partageait ses rêves et cauchemars. Jonas goûtait sans rechigner les drôles de mixtures préparées par son frère, qui avait déjà un goût prononcé pour la cuisine et plus spécialement la pâtisserie, tandis que Sebastian pouvait rester des heures à entendre son cadet jouer du piano. Ce dernier, après avoir été dans un centre commercial dans lequel était exposé cet instrument, avait été tenté d'apprendre à en jouer. Il s'avéra être très doué et son professeur vit en lui un futur prodige que toutes les scènes accueilleraient à bras ouverts. Il avait des leçons chaque jour de la semaine et moins de temps à consacrer aux aventures qui le poussaient son frère et lui à arpenter les rues du village ou à escalader les arbres et murets, à la recherche d'un trésor caché. Mais leur relation n'en fut pas ternie pour autant. Au point que les premiers soupçons de magie de Sebastian se manifestèrent lorsque trois gamins de leur école embêtèrent Jonas à proximité d'un pré. Ce dernier attendait son frère avec lequel il devait construire une cabane. Lorsque Sebastian arriva, l'un des effrontés poussa son petit frère. Une drôle de sensation le parcourut et l'instant d'après, de multiples pommes se détachèrent du pommier qui leur offrait de l'ombre et vinrent se heurter contre les trois chenapans, qui prirent leurs jambes à leurs cous. Lorsque Jonas aperçut son frère, il s'exclama :

« Wahou ! C'est toi qui a fait ça ?? »

« Euh, non, enfin je ne sais pas... Comment cela serait possible ? »

À partir de ce moment, l'imagination débordante du benjamin le poussa à croire assurément que son frère était un magicien. Il l'incita à tenter de déclencher d'autres phénomènes, mais Sebastian n'y parvint pas et se demanda si ce qu'il s'était passé avec les pommes n'avait pas été le fruit du hasard ou une manifestation divine, lui qui n'avait pourtant pas été élevé dans la croyance. Cependant, quelques mois plus tard, alors que les frangins jouaient au frisbee, le disque atterrit dans une propriété gardée par deux chiens imposants. Ils étaient sûrs d'y entrer, mais pas d'en ressortir. Sans qu'il n'en comprenne le mécanisme, avec sa seule volonté, il parvint à ramener le disque jusque dans sa main, cette sensation déjà ressentie par le passé le traversant de nouveau.

« Ah tu vois ! Je t'avais dit que tu étais un sorcier !! » s'enthousiasma Jonas.

C'est à ce moment-là que Sebastian comprit qu'il était différent. Jonas éprouva une certaine jalousie, mais pas le genre de jalousie malsaine qui empoisonne une relation, si on peut considérer qu'il en existe une « saine ». Disons qu'il parvint à l'exprimer à son frère, plutôt qu'à garder ses sentiments pour lui-même. Sebastian le réconforta, lui expliquant que s'il parvenait à utiliser des pouvoirs dont il ignorait tout, c'était bien grâce à lui. Que cela ne fonctionnait que grâce à ce duo inséparable qu'ils formaient. Et finalement, au lieu de les éloigner, ce secret ne fit que les rapprocher. Car aucun des deux n'en parla à leurs parents. Ils se faisaient mutuellement confiance et bien qu'ils se confiaient beaucoup à leurs géniteurs, ils avaient leur jardin secret, seulement connu de l'autre. En les observant, on ne pouvait trouver nulle part ailleurs relation plus fraternelle que la leur.

Durant son enfance ou le début de son adolescence, Sebastian n'avait rien à envier à ceux qui vivaient un château, qui avaient tous les jouets désirés, ou qui partaient en vacances chaque année. Il avait une demeure chaleureuse, des parents aimants, le meilleur compagnon de jeu possible sans compter ses amis, et avait juste à traverser un pré pour rejoindre une forêt et s'imaginer dans une jungle tropicale. Au niveau scolaire, il s'en sortait plutôt bien et nourrissait le rêve de devenir vétérinaire ou éthologue, tandis que son frère, celui d'être un pianiste de renommé, projet qui semblait se concrétiser chaque jour davantage.

Mais toute vie, qu'elle soit parfaite ou non, menée dans un château ou dans la rue, s'expose à des menaces. Aucun endroit de ce monde n'est épargné. Si vivre en solitaire peut vous éloigner des tueurs en série ou de monstres, cela ne vous préserve pas de la maladie. Malheureusement pour lui, Sebastian fut confronté aux deux, en une seule et même rencontre. C'est un soir de novembre 2012 que sa vie bascula à jamais. Malgré le froid, il décida de s'accorder une sortie nocturne comme cela lui arrivait fréquemment sans que ses parents ne soient au courant. Il s'échappait par la fenêtre et marchait pendant une heure, voire deux. Parfois parce qu'il en ressentait le besoin, sans autre justification, parfois par soif d'aventure. Son frère ne l'accompagnait que rarement. Bien que Sebastian adorait partager des moments avec lui, il était réticent à ce qu'il suive ses pas la nuit. Malgré que sa vie n'avait été que bonheur et qu'il avait ce côté insouciant, il n'était pas naïf et avait parfaite connaissance des dangers qu'il pouvait croiser. Sauf celui qui allait justement croiser sa route. S'il croyait à présent en la magie, il ne soupçonnait pas que des licornes, centaures ou dragons peuplaient ce monde. Encore moins des loups-garous. C'est pourtant aux abords de la fameuse cascade de Hellesylt qu'il aperçut cette créature au squelette quelque peu difforme, au regard meurtrier et aux crocs acérés. Instantanément, la peur l'envahit. Lui qui n'avait que trop peu l'habitude de ressentir cette émotion en fut tétanisé. Il vit la bête foncer vers lui. Entendre ses pas se rapprocher, jusqu'à sentir sa respiration souffler sur son visage. Jusqu'à ce que ses crocs se plantent dans son épaule. À cet instant, le trou noir. Sous l'effet de la douleur, il s'évanouit. Il se réveilla quelques jours plus tard à l'hôpital. La première personne qu'il vit fut sa mère, dont les traits exprimaient toute l'inquiétude et la détresse que seul un parent craignant pour la vie de sa progéniture pouvait connaître et dont les yeux étaient rongés par la fatigue. Il l'entendit éclater en sanglots, mais mit un certain temps avant de se rappeler des événements. Il se remémora la créature, l'attaque, ses crocs s'imbiber de sang avant qu'il ne s'effondre, et se laissa submerger par les larmes lui aussi. Sa respiration se saccada, sembla se couper sous l'effet de l'angoisse. On lui expliqua qu'un loup l'avait attaqué, qu'un passant avait vu son corps flotter sur l'eau et avait immédiatement alerté les secours, pensant néanmoins que ce serait vain. À vrai dire, malgré leurs nombreuses années de médecine, les professionnels médicaux ne comprirent pas comment ce jeune garçon avait pu survivre à une telle attaque. Sebastian n'aurait pu le leur dire dans les détails même s'il l'avait souhaité, mais il savait que c'était sa magie qui l'avait sauvé. Une traque fut organisée mais aucun canidé ne fut trouvé. Ce qui ne fut guère une surprise pour la victime.

Il n'osa se confier qu'à celui qui portait tous ses secrets, Jonas, qui n'eut aucun mal à le croire. S'il avait assisté à la magie, l'existence de telles créatures ne le surprenait pas. À l'inverse, Sebastian aurait été plus sceptique, bien que la confiance qu'il accordait à son frère aurait pris le dessus.
Il pensait que cet événement se terminerait là, par sa guérison et que ce ne serait plus qu'un mauvais souvenir. Mais c'est lors de la pleine lune suivante qu'il se rendit compte que sa vie ne serait jamais plus la même. Quelques jours avant, il s'était senti étrange, avait observé sa peau devenir de plus en plus pâle. Le fameux soir, son instinct, et ses entrailles qui le tiraillaient, le poussèrent à s'éclipser. Heureusement pour lui. Ou plutôt, pour ses proches. Il subit sa première transformation. Aujourd'hui encore, il garde le souvenir terrifiant de l'immense douleur qui l'a traversé à ce moment-là. Douleur qui, si elle s'est quelque peu atténuée avec le temps, ou dont il a maintenant connaissance, demeure présente. Ce fut le trou noir jusqu'à ce qu'il retrouve sa forme humaine, le lendemain. Il conserva également ses souvenirs. Cette nuit-là, il ne fit aucun dégât humain. Les seuls innocents qui périrent sous ses crocs furent une dizaine de moutons qui auraient mieux fait de rester silencieux dans la nuit, alors qu'un prédateur rôdait. Il fit le rapprochement avec ce qui lui était arrivé et surtout, se rendit compte quel danger il représentait. Que faire à présent ? Garder le secret, tout en sachant que ce serait mettre les siens en danger ? L'annoncer à ses parents ? Que pourraient-ils faire ? S'enfuir ? Pour aller où ? Finalement, ce fut la première option qu'il choisit. Il garda le secret. Pour la première fois, il n'en informa même pas Jonas. Et ce choix, il le regrette encore aujourd'hui.

Les pleines lunes suivantes ne furent l'objet d'aucun incident majeur. Jusqu'à cette fameuse nuit de mai 2013. Celle qui, aujourd'hui, hante le plus son existence. Plus encore que sa transformation. Jonas avait remarqué les nombreuses fois où son frère faisait le mur et avait décidé de le suivre en douce. Il souhaitait comprendre son éloignement, lui qui avait toujours été gardien de ses secrets et inversement. C'est là qu'il vit son ange gardien, son protecteur, devenir ce monstre sans conscience. Une branche craqua, le regard fixa la bête qui l'avait repéré. Tout comme Sebastian l'avait vécu, il fonça vers son frère. Au fil de sa course, ses griffes et ses crocs devinrent plus réels aux yeux du garçon. Un grognement, deux regards qui se croisèrent, puis le silence de la nuit. Ce n'est qu'au lendemain que Sebastian se rappela de l'atrocité qu'il avait commise. La bête avait souhaité tuer son frère. Malgré le lien qui les unissait, il n'avait pu l'en empêcher. Dévasté, il fugua, honteux, se rejetant lui-même, consumé par une haine envers celui qui l'avait condamné à cette vie, à cette faute, et contre lui-même de n'avoir pas pris la bonne décision. C'est la police qui le ramena à ses parents, alertée par son comportement étrange alors qu'il déambulait dans les rues. Ces derniers étaient noyés par l'incompréhension, par le chagrin, par le désespoir. Mais ils apprirent à Sebastian que Jonas n'était pas mort, qu'il était en soins intensifs, qu'il avait dû être amputé d'un bras et que son autre main dont les os avaient été broyés était déformée à jamais, qu'il ne restait plus qu'à prier pour qu'il s'en sorte. Le sorcier, abattu, estima qu'il était temps de dire la vérité à ses parents. Ces derniers ne le crurent pas, jusqu'à la prochaine pleine lune où il s'était lui-même enfermé au sol et s'était enchaîné, pour éviter de blesser, ou pire, quiconque. Il ne s'en rappela à nouveau que le lendemain. De ce regard horrifié posé par ses parents sur la créature qu'il était. Ce regard dans lequel il put lire la rancœur. À partir de ce moment-là, la relation avec ses parents changea et, il en est persuadé, ne pourra jamais plus évoluer dans le sens positif. Quoi de pire pour un parent qu'être partagé entre l'amour pour un enfant, et la peur et la haine qu'il vous inspire ? Peut-être qu'il disparaisse, bien que dans le cas présent, Sebastian estima qu'il aurait été mieux pour tout le monde que ce fusse le cas. Surtout pour Jonas. Il se décida d'ailleurs à rectifier le tir. Début juillet de la même année, alors qu'il venait d'avoir 14 ans, il décida de mettre fin à ses jours. Il rejoignit le toit d'une usine désaffectée et, après une profonde inspiration, se jeta dans le vide. Pourtant, jamais il ne sentit l'impact. Sa magie l'avait sauvé une fois de plus. Devait-il y voir un signe du destin ? Ou était-ce, au contraire, sa punition ? Il est en effet bien plus difficile de vivre avec des remords que de mourir et s'éteindre à jamais. Il se résigna et accepta de vivre cette vie dont il serait torturé par le même cauchemar qui lui reviendrait en mémoire chaque fois qu'il verrait son frère avec ce bras en moins. Nouveau signe du destin ou non, Jonas sortit du coma le lendemain de cette tentative de suicide, dont Sebastian ne parla à personne, jusqu'à aujourd'hui. À l'instar de ce dernier, Jonas se rappela parfaitement des événements. Des crocs qui se refermaient sur lui, cherchant à le tuer, de ces griffes qui avaient lacéré son corps en de multiples endroits. Apercevant l'absence d'un bras et l'autre mutilé, il sut que les scènes ne s'ouvriraient jamais à lui. Que son rêve de pianiste s'achevait sur ce lit d'hôpital. Que sa vie à lui allait changer à tout jamais également. Plus d'avenir, plus de frère. Nouveau chaos dans l'esprit du lycanthrope, qui n'en attendait de toute façon plus rien.

Cette vie de famille parfaite s'effondra. Il n'avait plus droit qu'à des regards accusateurs, haineux, apeurés, aux silences. S'ils savaient qu'une part de ses parents l'aimait toujours malgré sa nature et ses actes dont il n'était pas responsable, il avait conscience qu'aux yeux de son frère, il était mort. Qu'il ne lui pardonnerait jamais. Il estimait ne pas mériter ce pardon lui non plus. Il convint avec ses parents qu'ils l'enfermeraient et l'attacheraient dans le sous-sol à chaque pleine lune, pour lui éviter de devenir un assassin. Il n'était pas certain que cette fois-ci, il survive à l'idée d'avoir tué quelqu'un. Il ne comprenait d'ailleurs pas lui-même comment il pouvait encore se regarder dans un miroir après ce qu'il avait fait à l'une des personnes qui comptait le plus à ses yeux. Paradoxalement, il ne chercha pas à s'éloigner de ses amis, bien au contraire. Ils étaient son salut, sa bouée de sauvetage, sa bouffée d'air frais lorsque chez lui, les tensions silencieuses l'étouffaient peu à peu. Il parvint au fil du temps à retrouver le sourire, son côté joueur, insouciant et aventureux, dont il manquait à présent sa moitié. Forme de déni, possible. Fuite de la réalité, certainement.
Son frère, dont la morsure avait également déclenché la lycanthropie bien qu'il était moldu, suivit quant à lui le chemin de l'obscurité, se refermant au monde et aux autres.
En un sens, Solveig et Gunder avaient perdu leurs deux enfants.

Quelle ne fut pas sa surprise, à l'aube de ses 16 ans, de recevoir une lettre d'admission pour l'école de sorcellerie Jafnhár, situé au cœur du parc national de Hardangervidda. Sebastian ignorait qu'il puisse exister des écoles de magie. Il ne fut guère surpris par contre de ressentir un certain soulagement de la part de ses parents de le savoir pris en charge ailleurs, et même une satisfaction venant de Jonas.
Il y effectua sa rentrée en septembre 2015. Il fut émerveillé par cette multitude de paysages qui se dévoilaient devant ses yeux ; montagnes, forêts, lac et cascades – qui le replongèrent dans le souvenir douloureux de sa transformation –. À peine arrivé, il comprit certaines particularités du monde magique, tel que la nature du sang ou l'existence d'un Ministère de la magie régissant les citoyens sorciers. Ne souhaitant pas renouveler son erreur du passé, il fit part à la direction de sa nature. Il apprit, sans grande surprise, que les loups-garous n'étaient pas appréciés dans la communauté sorcière, qu'ils étaient même souvent rejetés. Pourtant, on lui promit en toute bienveillance que son secret ne serait pas dévoilé entre ces murs, même si la loi exigeait à ce que le Ministère de la Magie en soit informé.
Bien que ses anciens amis, dont ils étaient très proches pour certains, lui manquaient, il y vit là une opportunité de reprendre sa vie là où il l'avait laissée, en tentant d'échapper à ses démons, à cette haine qu'il éprouve envers lui-même par rapport à ce qu'il a infligé à son frère, à cette peur profonde de finir en paria et seul, alors même qu'il semble ne se soucier de rien. Mais personne ne peut fuir ses erreurs et ses ténèbres. La pleine lune, ses cauchemars récurrents, et sa détresse lorsqu'il s'isole trop longtemps, le ramènent inlassablement à ses tourments. Bien qu'il cherche à le nier, il pense ne jamais pouvoir en réchapper.

Posté : sam. avr. 10, 2021 11:09 pm
par Héla Thorsen
Hey !

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche :super:

Re: Sebastian Jacobsen • Il y a une part de lumière et d'ombre en chacun de nous. Ce qui compte c'est celle que l'on mon

Posté : sam. avr. 10, 2021 11:15 pm
par Asgeir Nygård
Coucouuuuuu :gene3: Trop content de te voir ici ! Bienvenue ! :coeur: :coeur: Fini vite qu'on puisse jouer :coeur:

Re: Sebastian Jacobsen • Il y a une part de lumière et d'ombre en chacun de nous. Ce qui compte c'est celle que l'on mon

Posté : sam. avr. 10, 2021 11:16 pm
par Thorbjørn Unfrid
hello bien venue

Re: Sebastian Jacobsen • Il y a une part de lumière et d'ombre en chacun de nous. Ce qui compte c'est celle que l'on mon

Posté : sam. avr. 10, 2021 11:16 pm
par AnyaSvendsen
BIENVENUE :D !
Bonne chance à toi pour finir ton histoire ! :D

Re: Sebastian Jacobsen • Il y a une part de lumière et d'ombre en chacun de nous. Ce qui compte c'est celle que l'on mon

Posté : sam. avr. 10, 2021 11:17 pm
par Charles H. JØRGESEN
Bonjour et bienvenue :orc1:

bon courage pour cette jolie fiche, j'ai hâte de la lire. N'hésites pas si tu as des questions :)

Re: Sebastian Jacobsen • Il y a une part de lumière et d'ombre en chacun de nous. Ce qui compte c'est celle que l'on mon

Posté : dim. avr. 11, 2021 4:54 am
par Magnus Karlsson
Bienvenue à toi. ;-)

Bien hâte de pouvoir RP et voir justement qu'elle partie de toi tu montrera. ;)

Re: Sebastian Jacobsen • Il y a une part de lumière et d'ombre en chacun de nous. Ce qui compte c'est celle que l'on mon

Posté : dim. avr. 11, 2021 9:38 pm
par Sebastian Jacobsen
Merci beaucoup à tous pour vos messages :D :D !

J'ai terminé ma fiche !

Re: Sebastian Jacobsen • Il y a une part de lumière et d'ombre en chacun de nous. Ce qui compte c'est celle que l'on mon

Posté : lun. avr. 12, 2021 2:51 pm
par Administrateur
Quelle fiche magnifique. Fort bien détaillés. Je n'ai rien à ajouter, tout est parfait. Je te valide ! La suite dans la cérémonie de répartition ;)

Re: Sebastian Jacobsen • Il y a une part de lumière et d'ombre en chacun de nous. Ce qui compte c'est celle que l'on mon

Posté : lun. avr. 12, 2021 7:14 pm
par Sebastian Jacobsen
Merci beaucoup pour la validation :D !!

J'arrive pour la répartition :3