Jafnhár RPG

Généralités

Date de naissance : 12/08/2000
Âge : 15 ans
Lieu de résidence : Arendal

Ancêtres et génétique

Valeur du sang : sang-pur
Don :metamorphomage
Hybridation : aucun

Physique

Avatar : Tom Welling
Particularité physique : la chevalière de son oncle
Style vestimentaire : T-shirt et jeans généralement ou une chemise en carreaux.

Magie & Etudes

Année : 1ère année
Baguette : 31 cm Acajou,Épine de monstre du Fleuve Blanc
Animal de compagnie : aucun
Cours obligatoires : Vol sur balais, Botanique, Potions, Sortilèges enchantements et maléfices, Métamorphose et transmutation, Etudes des forces obscure, Études des créatures magiques
Cours optionnel : Etudes des moldus

Personnalité

Choisir deux lignes de caractères principaux parmi la liste suivante afin de permettre la répartition dans les castes : (supprimer les autres)
1)Courageux / brave / Téméraire
3 ) Droit / honnête

Autres traits de caractères (détailler les deux choix et écriture libre) (minimum 5 lignes) :
Je suis quelqu'un qui garde le sourire, je suis taquin et je peux faire du mal aux gens sans m'en rendre compte. Une fois cela réalisé je m'en veux énormément. Je suis courageux et j'aide toujours les gens qui en ont besoin, malgré que je parle aux gens je ne leur donne pas ma confiance pour autant. Il faut la mériter et après on peut parler d'amitié ou de connaissance. Je suis de nature calme et posée, même si on me voit beaucoup dans des fêtes ou soirées je suis plus là pour faire plaisir a mes amis que moi même. Une fois qu'on me connaît réellement, je laisse tomber le masque du gars souriant et sûr de lui pour montrer ma vraie personnalité.

Histoire

Biographie du personnage (minimum 15 lignes) (enfance, études avant l’arrivé à Jafnhar, dons, hybridations, …) :
Je suis Ulrik Godefroy, je suis né en été le 12/08/2000 a leur de midi pour être précis. J’ai une père et une mère des plus charmants au monde et quel fut la joie de mon père que d’avoir eu un garçon comme enfant. Nous vivons à Arendal, dans une immense maison avec des domestiques sous nos ordres, moi je les considère comme des employés et non des esclaves domestiques comme le veut ma famille.

Ma vie est paisible en temps que sang-pur dans ma famille, plein de vie et je ne manque de rien. En réalité, je ne souriais pas et je ne profitais pas pleinement de cette vie servie dans un plateau d’or. Je suis un enfant sage qui ne fait pas de vague, non pas que j'ai peur du danger ou de donner des frayeurs à mes parents.Au fond de moi je n'étais pas quelqu’un de heureux dans cette vie de luxe et d'opulence. La raison est simple, mes parents ne sont jamais là, ils ne se sont jamais occupés de moi.

Cette joie de vivre je l’avais en allant chez mon oncle en dehors de la ville, un fermier qui a coupé les ponts avec la famille en épousant une moldu. Il n’avait pas le luxe que j’avais ou une belle maison, il avait quelque chose de plus beau dans ce monde. La joie et le bonheur d’une famille d'être heureux. Quand je n’étais pas à la maison pour l’école à domicile, j’allais chez mon oncle profiter de la ferme et m’amusez. J'apprends à vivre, à rire et à pleurer de joie, ici je suis quelqu’un de normale sans le poids de ma famille sur le dos.

J’apprend tout ce qu' un gentilhomme de sang pur peut apprendre avec les nobles, équitation, écriture, peinture et dessin, sortilège et bonne manière. Alors qu'à la ferme, je m’occupe des animaux et j'apprends la compassion, la gentillesse et le respect. J’avais même un ami à la ferme, Charlie le chien de mon oncle. Un ami des plus fidèles avec qui j'ai passé le plus clair de mon temps a joué avec lui et a exploré les alentours de la ferme.

Au fil du temps mes parents sont devenus des étrangers pour moi et mon oncle ma famille. J’avais plus de points communs avec mon oncle que mon père, nous n’avions rien qui nous rattachait à mes parents sauf le lien du sang. J’avais l'impression que pour eux cela ne dérangeait pas que leur fils ne leur parle pas ou vie en extérieur de leur juridiction, temps que je suis la pour accomplir mon devoir de fils de sang-pur. Pour vous dire je ne connaissais pas leur amis ou membre de la famille qui venait nous rendre visite dans notre maison. Eux aussi ils ne savaient rien de moi et je trouve cela bien.

Le jour où j'ai utilisé la magie pour la première fois cela a rendu mes parents heureux, j’ai déplacé les objets du salon par la pensée. Mon père a directement pris plus de cours à domicile pour moi et m'a inscrit dans une nouvelle école qui était en projet dans notre pays. L’enfer commence pour moi, entre cours de magie et de bien être je ne pouvais plus profiter d'aller m'amuser chez mon oncle qu’une fois par semaine. Puis un jour la coupe est pleine, je me suis enfui chez mon oncle laissant mes parents seuls dans leur maison de rêve.

Après quelque jours passé chez lui la rencontre des deux frères a eu lieu, mon père est enfin revenu me chercher chez son frère. Une dispute violente éclata entre les deux hommes à mon sujet, je ne comprenais pas pourquoi. Je me suis interposé pour calmer la situation et la mon père abattu sa carte maîtresse il posa sa main sur mon épaule et me murmura quelque mot qui mon fait froid dans le dos

“ viens avec moi ou je rase la ferme de cette idiot et tu auras cela sur la concience”

J’ai regardé mon oncle pour la dernière fois se jour la et je suis partis avec mon père.

Le temps a fait son œuvre et la tension est redescendue dans la maison, mon père ne m’en voulait plus pour ma petite fugue. Quelque jour avant la rentrer j’ai perdu mon oncle emporté par une maladie du cœur, j’avais tout perdu à ce moment.Je me retrouve seul avec deux inconnues vivant dans une grande maison froide et lugubre pour moi. Je voulais tellement le revoir une fois qu' un soir en me regardant dans le miroir j’ai vu son visage, pas que ça. J’ai pris l’apparence de mon oncle pendant quelque minute, pour moi cela voulait dire qu’il était avec moi. Le lendemain j’ai fait des recherches sur ce qu’il m'arrive et j’ai découvert que j’étais métamorphomage. Je ne connais pas encore tout l'étendu de ce don, mais je compte l'utiliser pour moi même si je n’arrive plus complétement à prendre d’apparence.