[07/10/2015] Le silence est de rigueur [Ouvert]

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Magnus Karlsson
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Re: [07/10/2015] Le silence est de rigueur [Ouvert]

Message par Magnus Karlsson »

Lorsque le silence ne suffit plus

" Feat. Ouvert "
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Puis c’est alors que nous entendîmes la porte de la salle s'ouvrir. Merde c’est vrai, nous étions tout les deux dans la salle blanche, un lieu public et accessible pour tout le monde facilement. Je me félicita intérieurement de n’avoir pas été trop rapide dans ma séance de déshabillage, il était hors de question que je partage cette jolie blonde. J’entoura alors machinalement et inconsciemment mon amour dans un geste très protecteur. Je la pressa tendrement, mais fermement contre moi afin de camoufler la vue de ses seins à quiconque et sans le vouloir je jeta un regard très noir vers l’intru.

Je vis alors que l’inconnue était ma sœur, zut qu’est-ce qu’elle fout là? Pourquoi je pose des questions idiote moi, je sais très bien ce qu’elle est venue faire ici. Elle est venue s'entraîner comme n’importe quel autre élève de l’école qui vient dans cette salle. C’est plutôt nous qui n’avons pas affaire ici, pour faire ce que nous faisons. Bon maintenant je lui dis quoi à @AnyaSvendsen , je ne peux pas lui inventer n’importe quel mensonge. La position dans laquelle moi et @Emelïa Hørn furent surpris. laisse peu de matière à l’imagination. Nos intentions étaient assez claires, nettes et précises. Sauf que je vis ma sœur repartir aussi vite qu’elle était venue après avoir rapidement croisé mon regard. Bon génial il me faudra lui courir après, afin de m’expliquer et de m’excuser pour ma conduite.

Aussitôt qu’Anya disparut derrière la porte, je vis ma copine lever les yeux vers moi et commencer à paniquer légèrement. Elle souhaitait rapidement s’habiller et aller manger. Je lui fis signe oui de la tête rapidement et je commençai à lui donner ses vêtements. Je tomba alors sur son jolie soutien-gorge noir et je resta figea devant lui. De jolies images me revinrent à l’esprit et je ne pus m’empêcher de plonger mon nez dans ce morceau de dentelle et de respirer l’odeur de ma bien-aimée qui était imprégnée dans celui-ci. Quelle doux parfum, je pouvais me sentir m’élever dans les airs à chaque bouffé d’air. Je fus alors soudainement dérangé par Emelïa qui me dévisageait quelque peu. Elle avait les mains sur sa poitrine pour se cacher et elle espérait vivement que je lui redonne ce vêtement essentiel. Je me sentis alors rougir de honte et j’eus l’impression que la température de la pièce venait de grimper de quatre ou cinq degrés.

“Oh!!! Heu… oui ceci est à toi… très… très jolie d’ailleur… comme toi… je… pardon… pour ce petit égarement. Voilà je te redonne ton bien… je… je peux te…”

Je lui tendis son soutien-gorge, tout en étant fixer sur sa poitrine, j’étais incapable de décrocher mon regard de ces petites rondeurs que ses mains essayai de cacher. Je voulais me proposer pour lui installer son vêtement, mais mes mots se mélangèrent dans ma tête avec mon désir de les toucher. Si bien que mon intention n’était pas claire du tout. Me rendant compte que j’avais soudainement l’air d’un parfait imbécile la bouche ouverte devant mon amour, je repris un peu de constance et je tenta de me concentrer sur mon habillement.

“Je crois qu’il serait plus sage que nous sortions à des moments séparés mon amour, pour éviter d'autres confusions. Sort en premier, je te suivrai dans 10 minutes. On se rejoint à la table pour manger.”

Elle était si pressée qu’elle me répondis rapidement oui, finalisa les dernières retouches de son habillement et s'apprêtait à sortir. Je la retins alors à la dernière minute lui agrippant une main et je la ramena vers moi afin de l’embrasser tendrement.

“Hey! Pas si vite. Je tiens à te remercier pour ce petit moment avec toi. Je… Je garde de précieux souvenirs désormais dans mon cœur et ma tête. Je t’aime.”

Je lui donna un autre tendre baiser avant de la laisser filer pour de bon. Je ne voulais pas vraiment la laisser partir, mais j’avais besoin de quelques minutes juste pour moi. Je venais de vivre quelque chose de merveilleux, quelque chose de marquant et que je ne pourrai jamais oublier. Je devais être sûr que je n’avais pas rêvé, que tout ceci était bien réel. Ma première réaction fut de me pincer vraiment fort, la douleur fulgurante que je ressentis me réconforta, je ne rêvais pas, tout ceci s’était vraiment passé. Elle venait donc de me laisser voir ses seins réellement… à moi… Magnus… le mec ultra gaffeur. Cela veut-il dire que si nous n’avions pas été interrompue, elle… elle m’aurait laisser voir… voir… voir tout!!! J’y crois pas, non c’est pas vrai. Je sentis peu-à-peu mon cœur battre la chamade à tout rompre et ma respiration s’accélérer.

Je me sentais tout léger, j’avais l’impression de voler littéralement, j’étais dans un état d’euphorie si intense que je me mis à crier à tût tête tout en courant partout dans la pièce. J’avais beau courir et crier, je me sentis gagner par une surdose d’adrénaline si fulgurante que je me lança dans un entraînement physique ultra intense tout en chantant haut et fort une magnifique chanson d’amour. Je me suis même permis de lancer quelques éclairs dans les airs, mon but étant de faire le plus de bruit possible. Il me fallait crier à l’école tout entière que ma Emelïa avait les plus beaux seins de la terre et que j’étais le plus comblé des mecs. Je sortis alors rapidement me mettant à la recherche de la première âmes vivante que je pourrai rencontrer. Je tomba alors sur un élève de ma caste et je posa mes deux mains sur ses épaules afin de l'arrêter. Je devais lui annoncer cette merveilleuse nouvelle, sauf que comme je le regardais un peu plus attentivement, je me mis à douter. Et si mon message lui donnait l’envie soudaine de voir les seins de ma copine, pire d’y toucher… NON, HORS DE QUESTION. JAMAIS JE NE PERMETTRAI CELA… C’est ma copine, je ne la partage pas, ses seins ne sont réservés que pour mes yeux à moi et à moi seul. Comme je réfléchissais à tout ceci, mon visage passa de l’euphorie la plus totale à la colère noire en une fraction de seconde. Je dévisagea mon collègue d’un regard aussi acéré qu’une lame de rasoir et je lui envoya fermement.

“Que je ne te vois pas poser les yeux sur ma copine Emelïa, sinon tu vas apprendre par cœur le mot souffrance. Je me suis bien fait comprendre?”

L’autre était complètement perdu, ne sachant pas du tout pourquoi je l’agressais de cette façon ce matin. Sauf que je ne me soucia guère de sa réaction, car déjà je partais vers la salle à manger me souvenant que j’avais un rendez-vous galant avec une jolie blonde à la poitrine si parfaite. Aussitôt de jolies images revinrent m’habiter, ainsi qu’une petite joie innocente.
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