{EVENT 2015} La solitude est mon amie [Terminé]

[Magnus Karlsson]

La solitude est mon amie

Feat. Tous

J’étais quelque peu confus avec ce qu’elle venait de me dire. Elle me trouve magnifique, mais elle ne sait pas où nous en sommes tous les 2. Pourtant je venais de lui déclarer mon amour, un amour profond et elle ne sait toujours pas. Elle n’est donc pas sûre de m’aimer, mais alors nos baisers la dernière fois c’était quoi? Puis comme je me questionnais de plus en plus sur ses sentiments envers moi, elle posa sa main derrière ma nuque et me rapprocha d’elle. Puis vins l’extase, le grand frisson causé par un baiser des plus langoureux. Je m’abandonna à ses lèvres, ma langue venant timidement dire bonjour à la sienne, puis peu-à-peu la timidité laissa place à ma passion. Pour la première fois je ressentis des sensations nouvelles à des endroits encore insoupçonnés de ma personne, mais je n’avais guère le temps de me soucier de ce soldat maintenant au garde à vous tellement j’étais envouté par le doux regard amoureux que me rendit Emelïa.

Si je doutais de ses sentiments, je ne doutais plus désormais. Tout en elle me tenait un discours différent de ses paroles. Il devint alors clair pour moi que son coeur m’aimait passionnément, mais que sa tête pour une raison inconnue avait peur de s’abandonner à ce sentiment. Comment en arrivais-je à cette conclusion, je ne peux l’expliquer, je le ressentais tout simplement. Il y a certaines choses que l’on peut vivre et ressentir, sans pour autant avoir une explication logique et sincèrement je commence à en avoir beaucoup de ce genre de truc. J’aurai voulu que notre baiser dure l’éternité, mais je commençais à me demander si nous ne serions pas plus confortable après s’être nettoyer et changer.

“Est-ce que tu aimerais aller te rafraîchir et te changer, nous pourrions alors prolonger notre soirée ensemble. Qu’en dis-tu? À moins que tu es une meilleure idée à me proposer?”

Je me levai doucement et je lui tendis la main pour l’aider à se relever. Malheureusement comme je la tirai doucement vers moi pour la levai, je glissai sur une flaque de teinture et je tombai à la renverse. Dans ma chute j’apportai Emelïa avec moi si bien que nous étions à nouveau au sol, moi sur le dos et elle complètement couchée sur moi. Elle avait les mains sur mon torse et une cuisse bien positionnée contre mon entre-jambe. Dans ma chute maladroite, j’eus le réflexe de la garantir de mon corps afin qu’elle ne soit pas blessée. De mon côté, je sentis de légères douleurs lorsque mon dos toucha le sol, mais j’avais connu pire durant certains entraînements avec Oddmund. Je la regardais alors un peu surpris au début, puis un peu inquiet et finalement je lui rendis un sourire très coquin finissant par apprécier cette position.

“Est-ce que tout va bien, tu n’as pas de mal? Décidément je crois bien que Freyja veut que nous soyons enlacer tendrement encore un peu plus longtemps. Je me vois mal lui désobéir et toi.”

Je n'attendis pas sa réponse, prenant doucement son visage entre mes mains et je vins l’embrasser à nouveau langoureusement.

[Emelïa Hørn]

La solitude est mon amie

J'eu le baiser le plus tendre et le plus passionné de toute mon existence. Il avait des lèvres si douces et des mains puissantes qui me maintenaient, tout, dans cet instant était parfait. Je ressentais des papillons dans le ventre, mon esprit finissait même par me jouer des tours, j'avais l'impression de planer au dessus de nous et d'être lové sur un nuage, sur notre nuage. Mes yeux étaient fermés au moment ou nos lèvres se quittaient pour la dernière fois. Je l'aimais, ho oui je l'aimais plus que tout au monde.

" Oui... Nous devrions aller nous changer, nous ne sommes plus vraiment présentables, ni toi, ni moi. Une bonne douche et une tenue digne de la soirée... Ce serait le minimum pour pouvoir aller rejoindre les autres. Je commence à avoir légèrement fin également. "

Je tentais de me relever en attrapant sa main puis finalement je tombais sur lui, venant me placer sur son corps et sentant chaque partie de celle-ci contre moi. La force de ces mains, la chaleur de son torse mais surtout une bosse dans son pantalon qui appuyait contre ma cuisse. Après un autre baiser je plongeais mon regard dans le sien, venant tâter sa poche à la recherche de l'objet. J'eu une hésitation, me demandant alors si c'était un téléphone portable moldu ou un carnet avant d'avaler ma salive en comprenant qu'il s'agissait de son anatomie masculine. Je rougis totalement et enfoui ma tête dans son coup en souriant.

" Oui... C'est les dieux.. Ou alors c'est toi qui ne veux plus me lâcher... Visiblement tu aimes beaucoup mes câlins. "

Dis-je en appuyant doucement mon genoux contre son érection, reprenant ma main avant de me redresser totalement sans oser le regarder, ni poser mon regard sur... Le soldat au garde à vous. Je lui tendis une main et une fois tous les deux sur nos pieds respectif je pris la direction de nos dortoirs. Je m'arretais, lui lançant un regard joueur, et je lui donnais alors ces quelques mots en signe de provocation avant de m'enfuir en courant. Qu'il me rattrape si il l'ose !

" Attrape moi soldat... "

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[Magnus Karlsson]

La solitude est mon amie

Feat. Tous

Alors que nous nous aprêtions à retourner dans nos dortoirs respectifs le temps de se rendre plus présentable, je glissai et nous nous retrouvâmes allongé au sol l'un sur l'autre. Je ne me gênai pas alors pour profiter de la situation et je lui vola un second baiser langoureux. Puis survint un moment que je trouvais particulièrement gênant, mais au combien plaisant en bout de ligne. Nous étions silencieusement enlacés, se désirant du regard, lorsque je sentis Emelïa glisser doucement sa main vers mon pantalon. Quel ne fût pas ma surprise de soudainement sentir sa main sur mon membre fièrement dresser. Sur le coup je devins rouge comme une tomate et je me sentais quelque peu honteux. Je pensais soudainement à mon père et au sermont qu'il me ferait sur l'art de bien se comporter avec une demoiselle. Sauf que Emelïa continuait inlassablement la palpation de mon organe, c'était si bon comme sensation que la peur de mon père s'envola soudainement. Doucement elle descendit ses doigts sur le tissu de mon vêtement et alla tâté mes bijoux pour ensuite remonté tout doucement. Je ne puis dire ce qu'elle essayait de faire, voulait-elle caresser ou deviné la forme et la grosseur de mon appendice au travers de mon pantalon, mais plus elle touchais et plus je ressentais du plaisir. Puis soudain elle s'arrêta net, je rouvris alors rapidement les yeux, sortant de mon état second et je la vis rougir à son tour. Elle me rendis alors un petit sourire que je n'eut le temps d'identifier avant d'enfouir sa tête dans mon cou. Pour ma part j'étais un peu partager entre la gêne et le désir de continuer.

"Je... désolé...je ne voulais pas t'embêter...avec...

J'avais un peu de difficultés à terminer ma phrase, tellement j'avais peur d'avoir agis comme un goujat, mais selon sa réponse elle ne semblait pas trop s'en formalisé. J'oserai peut-être même dire qu'elle n'avait pas détester ce moment, car je la sentais alors me faire une douce pression avec le bas de sa cuisse contre mon érection. Ceci ayant pour effet de me soutiré un léger gémissement et quelques sensations. Je ne saurais dire si elle avait joint à son geste un sourire ou un regard coquin, mais chose certaine je la sentais soudainement très coquine. Puis elle se releva et tout prit fin. Comme je me relevai également je reconnectai avec mon environnement, nous étions toujours dans le parc et il y avait encore beaucoup de monde autour de nous.

Doucement nous retournions vers nos dortoirs, c'est à ce moment que je me souvins de mon erreur du début de la soirée, il nous fallait cette fois-ci un point de rendez-vous. Je m'arrêtai alors 2 petites minutes. Je pris la main d'Emelïa et la rapprochai de moi.

"Emelïa tout à l'heure après que l'on se soit changer, on se donne rendez-vous à quel endroit et aussi à quel heure? Si je te dis près du buffet dans 1h ça te convient. Je ne sais pas si cette mixture verte sera difficile à enlever, mais j'aime mieux nous laisser un peu plus de temps au cas où."

Elle me donna une réponse satisfaisante et soudainement elle me jeta un petit regard espiègle. Elle se mit alors à courir en tout sens en me criant de la rattraper. Plus je la découvrais, plus je tombais follement amoureux d'elle. Décidément ce jolie petit minois avait tout pour me plaire. Je commençais alors à la pourchassai, la rattrapant peu-à-peu lorsque je percutai de plein fouet quelqu'un. Je levai alors les yeux pour m'excuser et je rougis de honte reconnaissant notre professeur de vol @Charles H. JØRGESEN. Je pencha alors la tête fautif et je regardai mon accoutrement. Je me souvins alors que j'étais torse nu, les cheveux vert, le visage bariolé de peinture de guerre viking verte, sans oublier que j'avais du rouge à lèvre tout le tour de la bouche. Que va-t-il penser de moi, de nous 2 et pire est-ce qu'il en glissera un mot à mon père. Je suis mort, ça y est!!!

[Charles H. JØRGESEN]

Soirée d'inauguration

Event

Traversant le parc comme un coq j'étais en train de me diriger vers la salle aux trois cascades. Je marchais d'un pas décidé comme à mon habitude. Il faisait assez sombre à cet heure-ci et bien que les lumières installées et la demi-lune éclairaient quelque peu le sol tout n'était pas visible.

D'un coup je sentais quelqu'un me bousculer, je ne vis pas qu'il était, la première chose que je constatais c'était de la peinture verte sur mon magnifique costume. Un peu irrité il fallait que je fasse partir cette tâche au plus vite avant qu'elle ne s'incruste. Je sortais ma baguette et d'un geste de main fit disparaître la tâche.

Je levais ensuite les yeux, c'était le fils du professeur Karlsson, Magnus je crois. Il semblait être dans une situation indélicate, j'ai l'impression que certains élève ont réussi à se procurer de l'alcool. Après tout j'étais pareil à l'heure âge. Ses cheveux verres, son rouge à lèvre et son torse nu je ne pu me retenir et j'explosais de rire en le regardant. Une fois calmé je lui dis :

" Magnus, quel accoutrement étrange. Votre soirée est bonne ? peut-être un peu étrange tout de même. "

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[Magnus Karlsson]

La solitude est mon amie

Feat. Tous

Je me sentais honteux d'être ainsi dans un état des plus pitoyable devant le professeur Jørgesen, tenant toujours mes habits tâché dans mes mains. J'avais tellement peur qu'il me dénonce à mon père, cela aurait été la catastrophe. Surtout que mes parents ont toujours été à cheval sur le principe que les sentiments amoureux ne sont pas quelque chose à prendre à la légère. Je me souviens encore ce qu'ils m'ont répéter mainte et mainte fois depuis que j'ai embrassé l'adolescence et que je commençais à m'intéresser à la gente féminine. "Magnus jamais au grand jamais tu ne dois jouer avec les sentiments d'une personne. L'amour est le sentiment le plus puissant en ce monde, autant il peut transporter une personne, autant qu'il peut le détruire. Donc si quelqu'un te donne son amour, prend en grand soin, car c'est la plus grande marque de confiance qui soit. Tu te dois de considérer ce présent comme ton bien le plus précieux. Chéri-le, aime-le, préserve-le à tout jamais." Est-ce que j'en étais rendu là avec Emelïa, tout mon cœur me criai oui à tout rompre. Est-ce que c'était la même chose pour elle, j'ose croire aux baisers langoureux que nous avons partagé, que la réponse est oui. Puis il y a tout c'est trucs bizarres qui me font dire oui également. Le seul hic c'est que je n'ai aucune idée si mon père comprendrais mon raisonnement.

Je n'osa trop levé les yeux vers le professeur de vol, lorsque je l'entendis soudainement éclaté de rire. Pourtant je n'avais rien dis de drôle, j'étais un peu perdu et confu devant cette situation absurde et qui me semblait irréel. Puis il me questionna sur mon accoutrement étrange, je ne savais trop quoi répondre, que par peur je ne dis que la vérité.

"Heu...bien en fait monsieur, c'est que alors que j'étais sagement assis avec ma...copine, quelqu'un est venue nous joué un vilain tour et nous à versé cette mixture verte sur la tête et nos vêtements. J'ai donc tenté de m'essuyer le visage avec mes mains, mais ce ne fût pas super concluant. Puis je voulus être plus courtois en prenant ma chemise, ce qui était alors le morceau de vêtements de plus propre et le plus descend à enlever, afin de nettoyer le visage de ma copine. Voilà monsieur ce qui c'est vraiment passé, je vous le jure. Je vous en pris monsieur ne dites rien à mon père pour ma petite amie...je ne suis pas sûr qu'il serait d'accord."

Je rougis de honte et je me demandais bien pourquoi soudainement je venais de lui donner l'idée de parler à mon père. Parfois se taire apporte du bon et merde!!! Courage Magnus, courage. Au moins ce fût la soirée la plus merveilleuse qui soit!

[Charles H. JØRGESEN]

Soirée d'inauguration

Event

La situation était très inhabituelle, je pense que notre cher Harold est passé par là. Cette soirée avait dû être son terrain de chasse et j'avoue que parfois le résultat est très drôle. Magnus semblait confus et un peu honteux d'avoir cet accoutrement devant moi.

Après son explication c'était certain, ils ont rencontré Harold. Je voyais qu'il n'avait pas envie que son père apprenne toute ses choses, heureusement pour lui il devait très certainement se trouver à l'intérieur. Histoire de m'amuser un petit peu je prenais la parole avec un air sérieux :

" Vous avez certainement rencontré Harold. Mais Magnus, si votre père est contre cette relation, je ne peux pas lui cacher "

Je laissais un instant de blanc avant de continuer avec un sourire farceur :

" Enfin, tout le monde à un prix, même moi " clin d'oeil

Il était évident que ce n'était pas le cas. Je trouvais aucun intérêt à dénoncer un élève qui sait s'amuser à son père, mais lui faire peur quelques secondes ne ferait de mal à personne.

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[Magnus Karlsson]

La solitude est mon amie

Feat. Tous

J'étais super honteux de me trouver ainsi devant un professeur, au moins ce n'était pas mon père, car là s'aurai été la catastrophe. J'espérai pouvoir m'en sortir sans trop de dommage, après tout le véritable fautif était le mauvais plaisantain qui nous a versé cette teinture verte. C'est lui qui devait payer, pas moi. Pour ma part je n'ai fais qu'embrasser tendrement une fille, puis elle était plus que consentante donc tout baigne. Bon ok je dois avoué qu'à un certain moment, nous étions si enlacés que nous nous sommes alors adonné à certains attouchements, mais alors comment font les adultes, pour dire non à une demoiselle qui se fait allée les doigts dans votre entre-jambe, surtout si cette demoiselle vous la kiffé grave. Heu bon c'est peut-être ce genre de discussion que je ne suis pas super à l'aise d'avoir avec mon paternel. Je crois bien qu'il me passerai l'envie de recommencer...aye!!! Bon je ne dois pas paniquer, peut-être que monsieur Jørgesen sera cool avec moi.

C'est à cet instant que je pus finalement savoir le nom du joueur de tour. Harold, bien déjà j'ai son prénom, le retrouver sera moins difficiles que prévu. Il semble avoir une réputation qui le précède, il aurait mieux value pour lui que je ne le retrouve pas, mais il semblerait que le destin en est voulu autrement.

"Vous connaissez le responsable de ma mésaventure monsieur, il serait bien qu'il soit punie. Puis heu pour ma relation...ce n'est pas que père soit contre, c'est plus qu'il veut que je me comporte bien avec les filles, c'est juste cela monsieur."

Puis il me fit un petit sourire, tout en me glissant que son silence était achetable, je vous raconte pas le regard que je lui rendis. Moi qui plaçai la loyauté au-dessus de tout, pour moi un professeur se devait d'être intègre et droit, comme je savais que mon père l'était dans l'exercice de ses fonctions. Mais là je constatai que ce n'est pas tout le monde qui avait la même vision.

"Heu...non sa ira monsieur je préfère affronter mon père, plutôt que d'encourager cette procédure. J'aime mieux assumer mes responsabilités, après tout moi et Emelïa nous n'avons fait que nous embrassé sans rien de plus monsieur."

Je me tenais alors droit comme un seul homme, le courage Ilvers était alors très visible en moi. Regardant droit dans les yeux le professeur de vol.

[Administrateur]

@Charles H. JØRGESEN fini par rire et @Magnus Karlsson comprend que son professeur se moque de lui. Après un sourire entendu et un clin d’œil de la part du professeur l'élève peut regagner son dortoir en toute confiance.