Accepter ou refuser ?
Feat. Charles J.
Nous étions tous les deux d'accord avec l'idée de rester quelque temps sur la terre ferme avant de nous élancer dans les airs pour une nouvel escapade à balais. Désormais en face à face et assez proche pour pouvoir discuter en toute intimité sans être dérangé par les élèves nous parlions de nos vies passés, j'apprenais à le connaître et je venais également à me dévoiler. Ainsi nous n'étions plus des inconnus mais plutôt des collègues et peut-être même des amis.
" Je n'attendais pas de toi que tu aimes le bureau, le calme et le repos. Toi le joueur de Quidditch tu es tout sauf quelqu'un de calme, plutôt téméraire, voir fou. Mais je le suis aussi alors bon, je ne te lancerais la pierre si elle m'emmène aussi dans ta chute. Mon père travaillait au ministère mais il a prit sa retraite il y a quelques mois maintenant, il était lié au département des liens moldus. Il s'occupait de faire la transition entre les sorciers et les non magiques. Désormais il coule des jours heureux dans son jardin et il profite de la nature et des oiseaux. Ma mère ne travaillait pas cependant. Et tes parents, dans quoi travaillaient-ils ?
C'est vrai que nous n'aurions pas eu beaucoup de possibilités de rencontres, je ne suis pas une fan de Quidditch, je n'ai d'ailleurs jamais assisté à aucun match. Si j'avais su que les joueurs étaient mignon je l'aurais fait ! Cela m'aurait évité de chercher dans deux pays l'homme idéal. Enfin bref, tout ceci pour dire que je t'aime bien et que je serais aussi heureuse de te payer un verre en remerciement de ce que tu fais pour moi aujourd'hui. "
Je le suivais dans son rire sur la théorie de ma chambre totalement recouverte de dessins et de photos animés d'un joueur de Quidditch connu mondialement. Je n'étais réellement pas ce genre de personne et encore moins du genre à jouer es groupies accro qui traversent le monde entier pour rencontrer leur idole. Non, je préférais attendre et voir si la chance allait me sourire et m'emmenait vers un destin des plus merveilleux. Chacun de nos choix nous amenait là ou nous étions mais j'aimais laisser une part de possibilité, une part d'inconnu à ma vie, une part de chance également.
Nous revenions doucement à la réalité et reprenions un peut de sérieux alors qu'un groupe d'élèves venait discrètement de se poser dans les gradins du stade pour espionner leurs deux professeurs. Ils ne furent pas décus de leurs petites virés car ils tombèrent alors nez à nez avec une blonde rougissant et un professeur très tactile qui vint à attirer la professeure au creux de ses bras pour un baiser doux et délicat qu'elle ne lui refusait pas.
Je gardais mes lèvres sur les siennes, venant presque à apprécier ce contact plutôt surprenant et je vint à rougir de plus belle au fur et à mesure des secondes me rendant compte que mon cœur me refusait finalement ce bonheur. Embrasser oui, mais pas lui. J'avais quelqu'un d'autre en tête et je devais lui dire. Finalement je m'éloignais de Charles et je venais à attraper mon balais pour m'élever dans les airs rapidement. Je voulais changer de sujet et oublier tout ceci. La plus sage des décisions était alors de m'éloigner.
" Aller, attrape moi ! "
Dans un élan de folie j'accélérais mon allure afin de m'enfuir au plus loin dans les airs. Je volais à basse altitude, mes pieds pouvant presque toucher les plus hautes branches des arbres.
" Je n'attendais pas de toi que tu aimes le bureau, le calme et le repos. Toi le joueur de Quidditch tu es tout sauf quelqu'un de calme, plutôt téméraire, voir fou. Mais je le suis aussi alors bon, je ne te lancerais la pierre si elle m'emmène aussi dans ta chute. Mon père travaillait au ministère mais il a prit sa retraite il y a quelques mois maintenant, il était lié au département des liens moldus. Il s'occupait de faire la transition entre les sorciers et les non magiques. Désormais il coule des jours heureux dans son jardin et il profite de la nature et des oiseaux. Ma mère ne travaillait pas cependant. Et tes parents, dans quoi travaillaient-ils ?
C'est vrai que nous n'aurions pas eu beaucoup de possibilités de rencontres, je ne suis pas une fan de Quidditch, je n'ai d'ailleurs jamais assisté à aucun match. Si j'avais su que les joueurs étaient mignon je l'aurais fait ! Cela m'aurait évité de chercher dans deux pays l'homme idéal. Enfin bref, tout ceci pour dire que je t'aime bien et que je serais aussi heureuse de te payer un verre en remerciement de ce que tu fais pour moi aujourd'hui. "
Je le suivais dans son rire sur la théorie de ma chambre totalement recouverte de dessins et de photos animés d'un joueur de Quidditch connu mondialement. Je n'étais réellement pas ce genre de personne et encore moins du genre à jouer es groupies accro qui traversent le monde entier pour rencontrer leur idole. Non, je préférais attendre et voir si la chance allait me sourire et m'emmenait vers un destin des plus merveilleux. Chacun de nos choix nous amenait là ou nous étions mais j'aimais laisser une part de possibilité, une part d'inconnu à ma vie, une part de chance également.
Nous revenions doucement à la réalité et reprenions un peut de sérieux alors qu'un groupe d'élèves venait discrètement de se poser dans les gradins du stade pour espionner leurs deux professeurs. Ils ne furent pas décus de leurs petites virés car ils tombèrent alors nez à nez avec une blonde rougissant et un professeur très tactile qui vint à attirer la professeure au creux de ses bras pour un baiser doux et délicat qu'elle ne lui refusait pas.
Je gardais mes lèvres sur les siennes, venant presque à apprécier ce contact plutôt surprenant et je vint à rougir de plus belle au fur et à mesure des secondes me rendant compte que mon cœur me refusait finalement ce bonheur. Embrasser oui, mais pas lui. J'avais quelqu'un d'autre en tête et je devais lui dire. Finalement je m'éloignais de Charles et je venais à attraper mon balais pour m'élever dans les airs rapidement. Je voulais changer de sujet et oublier tout ceci. La plus sage des décisions était alors de m'éloigner.
" Aller, attrape moi ! "
Dans un élan de folie j'accélérais mon allure afin de m'enfuir au plus loin dans les airs. Je volais à basse altitude, mes pieds pouvant presque toucher les plus hautes branches des arbres.